Pénurie d'eau Niveau de risque : Modéré ?

Dans la zone que vous avez choisie (Escuintla), le risque de pénurie d’eau est modéré, d’après les informations de modélisation dont dispose actuellement ThinkHazard!. Par conséquent, on évalue à 20 % au maximum la probabilité qu’un épisode de sécheresse se produise au cours des 10 prochaines années. En s’appuyant sur cette information, il est nécessaire de prendre en compte l’impact de la sécheresse à toutes les étapes du projet, en particulier pour le personnel et les différents intervenants, ainsi qu’au cours de la conception des bâtiments et des infrastructures. Les décisions relatives à la planification du projet, à sa conception et aux techniques de construction devraient tenir compte du risque de sécheresse. Il convient d’obtenir des informations supplémentaires détaillées afin de bien prendre en compte le niveau d’aléa.

Effets du changement climatique : Degré de confiance moyen concernant une augmentation de la tendance à la sécheresse, avec des répercussions sur le manque d’eau. Le niveau d’aléa pourrait s’accroître à l’avenir en raison des effets du changement climatique. Il serait prudent de concevoir des projets dans cette zone qui soient capables de résister à un risque de sécheresse et de pénurie d’eau sur le long terme.

Recommandations

• OBTENEZ DES INFORMATIONS : Réalisez une évaluation du risque pour déterminer précisément si votre projet est vulnérable à une pénurie d’eau/à une sécheresse, et si un examen approfondi et/ou une intervention est nécessaire. En savoir plus
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  La sécheresse est un risque qui évolue lentement et qui conduit à une pénurie d’eau. Ses effets peuvent toucher de vastes zones et de nombreux secteurs : mauvaises récoltes et réduction de la production agricole jusqu’à une réduction de l’électricité et de l’eau potable disponible, par exemple.

  Les informations fournies par l’application ThinkHazard! à ce sujet doivent être prises en compte en tant que données primaires pour évaluer le risque de pénurie d’eau dans la zone de votre projet. Afin de déterminer plus précisément le risque, une évaluation approfondie doit être menée pour déterminer la vulnérabilité de votre projet ou de la zone concernée à une pénurie d’eau. Par exemple, il convient de réaliser une évaluation pour définir la vulnérabilité des bénéficiaires du projet au risque de pénurie d’eau et de sécheresse, ainsi qu’aux divers problèmes y afférent : insécurité alimentaire et mauvaises récoltes, ou perturbation éventuelle des services publics (transport, communication, assainissement et eau potable, électricité) et ses conséquences sur votre projet.

  - N’oubliez pas que le niveau d’aléa donné par ThinkHazard! doit être considéré comme une première estimation du risque de pénurie d'eau. Il sera nécessaire de préciser le risque de pénurie d'eau au niveau local. - Déterminez la vulnérabilité des bénéficiaires de votre projet aux conséquences d’une pénurie d’eau, telles que l’insécurité alimentaire et des mauvaises récoltes. - Évaluez la vulnérabilité de votre projet à une perturbation des services publics comme les transports, les communications, l’assainissement, l’accès à l’eau potable et à l’électricité, etc. - Identifiez les réglementations locales en ce qui concerne la pénurie d’eau et les sécheresses. Il peut s’agir de limitation à l’utilisation d’eau et d’électricité lors d’un épisode de pénurie d’eau. - Si d’autres projets sont liés au vôtre, il est essentiel d’évaluer la vulnérabilité de chacun d’entre eux.

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• INFORMATIONS EXISTANTES : Renseignez-vous sur les conditions préexistantes de sécheresse et de pénurie d'eau. ThinkHazard! utilise surtout des ensembles de données mondiaux, et il vous incombe donc de déterminer la disponibilité d'informations locales pour vérifier si votre projet se situe dans une région exposée aux pénuries d'eau ou aux sécheresses. Il convient de se procurer les données disponibles concernant le risque de pénurie d’eau/de sécheresse pour tous les sites et tous les niveaux d’aléas. En savoir plus
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  Il convient de se procurer les données disponibles concernant le risque de pénurie d’eau/de sécheresse pour tous les sites et tous les niveaux d’aléas. Ces données peuvent prendre différentes formes : cartes du risque de pénurie d’eau/de sécheresse, comptes-rendus des épisodes de sécheresse antérieurs et sources officielles et/ou informations locales.

  Il est également possible d’étudier les épisodes de pénurie d’eau/de sécheresse antérieurs afin de déterminer le niveau de risque. Des inondations survenues par le passé sur un site donné sont un signe évident d’un risque d’inondation significatif. On peut ainsi affiner les niveaux d’aléas donnés par l’application ThinkHazard!. Toutefois, il convient de ne pas conclure automatiquement à l’absence de risque lorsqu’on ne trouve pas trace d’événement antérieur dans les archives. Cela signifie uniquement qu’aucun épisode d’inondation n’a encore été enregistré officiellement.

  Les archives, par exemple celles qui proviennent des médias locaux, peuvent permettre de mieux comprendre les épisodes de sécheresse précédents, et donc de mieux évaluer le risque à une échelle plus locale. Les organisations comme Reliefweb (reliefweb.int), qui fournissent des informations sur de précédents événements et sur leurs conséquences, sont également très utiles.

  Outre la modélisation, la cartographie et la documentation relatives au risque de pénurie d’eau/de sécheresse, les informations locales peuvent s’avérer une source supplémentaire d’informations des plus utiles pour évaluer le risque de pénurie d’eau/de sécheresse. Les autorités locales peuvent fournir des documents, des observations ou d’autres informations concernant les épisodes de pénurie d’eau/de sécheresse survenus par le passé. Là aussi, les habitants de la région sont susceptibles de très bien connaître le système hydroéconomique, en particulier s’ils ont vécu près du site en question pendant un certain temps. Ces sources d’informations locales doivent être utilisées afin d’évaluer plus précisément le risque de pénurie d’eau/de sécheresse pour un lieu donné.

  - Consultez les cartes locales du risque de pénurie d’eau/de sécheresse en accès libre (si elles sont facilement accessibles). - Obtenez des informations auprès des habitants de la région (par le biais d’entretiens avec les autorités locales, les résidents, etc.) - Obtenez les éléments relatifs à de précédents épisodes, si possible.
  - Obtenez les cartes détaillées du risque de pénurie d’eau/de sécheresse pour votre projet, auprès d’un organisme public, ou de consultants locaux/internationaux (le cas échéant). - Procurez-vous et comparez plusieurs ensembles de données sur le risque d’inondation dans le cadre de votre projet auprès d’un organisme public et/ou de consultants locaux/internationaux (le cas échéant). - Identifiez les plans existants de gestion de la sécheresse qui contiennent des informations sur 1) la réglementation des directives pendant une pénurie d’eau, 2) les départements ministériels/les niveaux intermédiaires responsables, 3) les options d’adaptation afin de minimiser les effets négatifs de la pénurie d’eau.

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• EXPERTISE TECHNIQUE : La consultation d'experts en pénurie d'eau et en sécheresse vous permettra de mieux comprendre les risques qui pèsent sur votre projet. Le niveau de conseils professionnels nécessaires dépendra de la vulnérabilité du projet, du niveau d’aléa identifié et de la législation locale applicable. En savoir plus
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  L’avis de professionnels peut prendre des formes multiples, qui vont d’un avis informel à une évaluation sur site complète du risque de pénurie d’eau/de sécheresse (ERS). Le degré de consultation nécessaire dépendra dans une large part de la vulnérabilité du projet ou de son stade de développement, du niveau de risque de pénurie d’eau/de sécheresse attendu et du niveau d’ERS requis (le cas échéant) par les autorités locales.

  Pour commencer, un avis informel peut constituer un moyen utile et efficace pour mieux comprendre le risque de pénurie d’eau/sécheresse. Les forums professionnels et même les réseaux sociaux peuvent vous mettre en relation avec des professionnels expérimentés en matière d’évaluation du risque de pénurie d’eau/de sécheresse. Les chercheurs qui connaissent parfaitement la zone qui vous intéresse peuvent eux aussi constituer une ressource utile. Ces professionnels peuvent avoir une connaissance fine du risque de pénurie d’eau/de sécheresse, et être à même d’identifier les donnés et informations existantes pour la zone du projet.

  Un repérage du risque de pénurie d’eau/de sécheresse peut permettre d’obtenir une meilleure compréhension du risque. Ce repérage fournit une vision d’ensemble plus précise, mais toujours assez générale, du risque de pénurie d’eau/de sécheresse que ce que peut offrir l’application ThinkHazard!. Ces études s’appuient généralement sur des documents et visent à proposer une évaluation générale du risque de pénurie d’eau/de sécheresse en intégrant les informations disponibles, voire en réalisant une modélisation sommaire. Un repérage du risque d’inondation fait apparaître les principaux sites pour lesquels une étude plus approfondie peut se révéler nécessaire. Il convient de faire appel à des consultants qui ont fait la preuve de leurs compétences et de leur expérience pour effectuer des évaluations du risque de pénurie d’eau/de sécheresse. Il est préférable que le consultant ait une expérience locale dans la zone concernée par le projet, et par conséquent, qu’il connaisse bien les données et informations disponibles ainsi que la législation et les institutions locales.

  Une ERS propre à un site constitue le repérage le plus détaillé de pénurie d’eau/de sécheresse en un lieu donné. L’ERS peut fournir des informations détaillées sur le risque de pénurie d’eau/de sécheresse, et renseigner sur le niveau approprié des mesures d’adaptation du site à mettre en place. Les ERS peuvent nécessiter beaucoup de ressources et devraient être effectuées par un consultant ayant fait preuve de ses compétences dans l’évaluation des risques de pénurie d’eau/de sécheresse sur un site donné, et notamment de l’évolution de la disponibilité des ressources en eau compte tenu du changement climatique. Ils devront disposer de compétences adaptées en météorologie, en hydrologie, et en modélisation informatisée de bilans hydrologiques. Ce consultant devrait également avoir une grande expérience de la réalisation d’ERS dans les conditions climatologiques données, et une bonne connaissance de la législation locale. Si le projet implique des constructions, il peut exister des normes pertinentes de construction s’appliquant au projet relativement à la rareté de l’eau/au risque de sécheresse, c'est-à-dire le stockage des eaux pluviales, l’installation de systèmes de collecte des eaux de pluie et des eaux usées, l’application de la régulation des températures lors de la conception des bâtiments ou l’installation de systèmes intelligents de régulation des températures (comme le chauffage/le refroidissement géothermiques, les toitures vertes), ou l’utilisation de panneaux solaires/d'éoliennes à petite échelle afin d’assurer l’approvisionnement local en électricité. Veillez à toujours demander au consultant auquel vous envisagez de faire appel qu’il vous donne des exemples détaillés de son expérience dans ce domaine.

  Le niveau de conseils professionnels nécessaires dépendra en grande partie de la vulnérabilité du projet et/ou du niveau d’aléa identifié.

  - Pour les actifs de moyenne à forte vulnérabilité, envisagez l’établissement d’un DRA spécifique au site, l’objectif étant de fournir la compréhension détaillée de la rareté de l’eau locale/du risque de sécheresse. - Pour les actifs moins vulnérables, envisagez la nomination d'un spécialiste de l'évaluation de la pénurie d’eau/du risque de sécheresse, avec pour objectif de fournir une vue d’ensemble de la rareté de l’eau/des risques de sécheresse dans la région.

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• SURVEILLANCE ET PRÉVISION : Recensez les systèmes de surveillance et prévision de la sécheresse qui existent dans la zone de votre projet. Songez à la façon de recevoir les messages, à ce qu’il faut faire lorsque ceux-ci annoncent une sécheresse. Ces systèmes sont destinés à fournir aux populations des informations sur l’évolution des conditions de sécheresse à partir de données relatives au climat et à la disponibilité de l’eau, et peuvent servir à déclencher des plans de gestion afin d’atténuer les effets d’une sécheresse potentielle. En savoir plus
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  Les systèmes de surveillance et prévision de la sécheresse (DMFS) sont essentiels pour réduire les dommages que pourrait causer une pénurie d’eau/sécheresse. Ces systèmes sont destinés à fournir aux populations des informations sur l’évolution des conditions de sécheresse à partir de données issues de prévisions météorologiques (saisonnières et à long terme), de relevés des températures, des données pluviométriques et relatives à l’évapotranspiration, et du niveau des cours d’eau, des lacs, des réservoirs et des nappes phréatiques. Si l’alerte est donnée suffisamment à temps, des mesures d’atténuation du risque seront possibles. Ces mesures peuvent notamment consister à établir des plans de gestion de la sécheresse, stocker à l’avance des denrées alimentaires et de l’eau propre, augmenter les réserves d’eau en relevant les niveaux de stockage des lacs et des réservoirs, encourager le stockage d’eau douce (recueillir les eaux de pluie), encourager les populations locales à utiliser moins d’eau douce et appliquer des mesures d’adaptation à la gestion des systèmes agricoles (par exemple opter pour des cultures résistantes à la sécheresse, réduire les cultures, recourir à d’autres techniques agricoles – engrais et labour par exemple).

  Les DMFS peuvent être des systèmes locaux, comme ceux qui existent déjà sur votre site, ou des systèmes à grande échelle. En général, ce sont des organismes publics, des services d’intervention d’urgence, ou même des communautés locales, qui pilotent les DMFS locaux. Des systèmes de prévision et de mesure de la sécheresse à grande échelle existent par ailleurs, à l’instar du Global Agricultural Drought Monitoring and Forecasting System (GADMFS).

  - Si votre projet fournit un service critique, envisagez d’appliquer des mesures de base destinées à préserver son intégrité en cas de pénurie d’eau/sécheresse, en mettant par exemple en place un système parallèle d’approvisionnement en énergie (solaire/éolien/batteries). - Renseignez-vous pour savoir si un système de surveillance et prévision de la sécheresse (DMFS) existe pour la zone du projet. Un système de ce type sera vraisemblablement géré par l’organisme public chargé des cours d’eau, mais d’autres organisations sont susceptibles de gérer un dispositif similaire : les services d’urgence, les sociétés d’exploitation de retenues d’eau ou de centrales hydroélectriques, voire la population locale. On pourra aussi recourir, le cas échéant, à des DMFS mondiaux ; vérifiez si votre projet se trouve dans une région dotée d'un tel système — par exemple : <http://gis.csiss.gmu.edu/GADMFS/>. - Vérifiez s'il est possible d'établir une connexion en temps réel avec le DMFS. Dans le plus simple des cas, un texto ou un courriel sera transmis par l'opérateur du DMFS lorsque des seuils critiques de pénurie d'eau/de sécheresse sont atteints. - Veillez à assurer une diffusion rapide et claire à tous les membres du personnel et aux bénéficiaires du projet des prévisions ou alertes aux pénuries d'eau/sécheresse. - Élaborez une série de protocoles définissant les mesures à prendre au moment de la transmission d'une prévision ou d'une alerte. Selon le degré de sophistication du système, il peut s’avérer nécessaire de définir un ensemble de protocoles pour déterminer les interventions en fonction des différents niveaux d’alerte. Veillez à ce que le personnel sache qu’il existe un système de prévision et de mesure de la sécheresse, soit informé du temps dont il dispose pour réagir en cas d’alerte, et connaisse les procédures. Pour les actifs critiques ou en réseau, les protocoles devraient mettre en garde contre de possibles interruptions de service et insister sur la possible nécessité de recourir rapidement à des services d'appoint.

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• GESTION DE L'EAU : Votre projet devrait envisager des mesures de gestion de la pénurie d’eau/de la sécheresse pour atténuer le risque — par exemple, stockage, sources de rechange et mesures d'économie. En savoir plus
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  La gestion de la pénurie d’eau/de la sécheresse englobe toutes les mesures susceptibles d’atténuer ces deux risques. Ces mesures peuvent notamment consister à stocker à l’avance des denrées alimentaires et de l’eau propre, à recueillir les eaux de pluie, à utiliser des sources d’énergie alternatives (éolien/solaire), à lutter contre la surexploitation des ressources en eau propre et à opter pour des cultures plus résistantes à la sécheresse.

  Le choix des mesures permettant de gérer la pénurie d’eau/la sécheresse dépendra du type de pénurie d’eau/de sécheresse, de l’ampleur du projet, des ressources disponibles et de la volonté/capacité des autres parties prenantes régionales à participer à ces efforts. Dans le cas d’un projet à grande échelle, un certain nombre de mesures de gestion de la pénurie d’eau/de la sécheresse peuvent être envisagées : stockage d’eau propre, installation d’un système de production d’énergie alternative (solaire ou éolien), mesures destinées à lutter contre la surconsommation d’eau, ou cultures alternatives (adaptation via la gestion agricole). Quelles que soient les mesures retenues, il est essentiel que les mesures destinées à faire face à la pénurie d’eau/à la sécheresse ne soient pas mises en œuvre isolément, car elles peuvent avoir un impact significatif sur d’autres zones.

  - Déterminez s’il existe localement des plans ou des procédures de gestion de la pénurie d’eau/de la sécheresse, et définissez la manière dont votre projet s’intègrera dans ce cadre. - Envisagez l’élaboration et le déploiement d’un plan intégré de gestion de la pénurie d’eau/de la sécheresse (s’il n’en existe pas déjà un). - Dans le cas d’un projet à grande échelle, envisagez des mesures d’adaptation à la pénurie d’eau/à la sécheresse, telles que le stockage d’eau (propre), un système de production d’énergie solaire ou éolienne, et l’adaptation via la gestion agricole (type de cultures, gestion des terres). - Si votre projet fournit un service critique, envisagez de mettre en œuvre des mesures de base pour préserver son intégrité en cas de pénurie d’eau/de sécheresse, par exemple en recourant à des sources d’énergie de rechange (solaire/éolien/batteries) pour les équipements électroniques critiques. - Si votre projet concerne le secteur agricole, envisagez les effets délétères des pénuries d’eau et des mauvaises récoltes sur ses résultats d’ensemble. Envisagez de prendre des mesures pour atténuer les risques en optant pour des cultures plus résistantes à la sécheresse ou en souscrivant une assurance agricole. Mettez de l’argent de côté pour pouvoir faire face à la fois aux dépenses prévues et imprévues liées à la sécheresse, en intégrant ces coûts dans le budget de votre projet dès la phase d’études. - Menez une analyse coûts/avantages afin d’évaluer l’inclusion d’éléments permettant de faire face à une pénurie d’eau/à une sécheresse. - Veillez à assurer l’accessibilité du projet dans le cas d’une pénurie d’eau/d’une sécheresse. - Privilégiez une conception résistante à la sécheresse si le projet procure un service critique. Une conception résistante à la sécheresse permet à un bâtiment de continuer à fonctionner en cas de pénurie d’eau/de sécheresse. À cette fin, on peut prévoir une source d’électricité alternative (solaire/éolien), un stockage local d’eau douce, des dispositifs de régulation de la température (par exemple via l’utilisation de certains matériaux, la conception d’un bâtiment, des systèmes géothermiques de chauffage/refroidissement, ou des toits végétalisés). - Si votre projet concerne l’agriculture, tenez compte des conséquences délétères d’une pénurie d’eau et d’une mauvaise récolte sur la réussite globale du projet. Envisagez de prendre des mesures pour atténuer les risques en optant pour des cultures plus résistantes à la sécheresse ou en souscrivant une assurance agricole. Mettez de l’argent de côté pour pouvoir faire face à la fois aux dépenses prévues et imprévues liées à la sécheresse, en intégrant ces coûts dans le budget de votre projet dès la phase d’études.

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